• "JOYEU NOEL"  famille de Dieu  
     
    Il existe de nombreuses prophéties de l’Ancien Testament concernant Jésus-Christ. Certains exégètes ont répertorié plusieurs centaines de prophéties messianiques. Voici celles qui sont considérées comme les plus claires et les plus importantes.

    Sur la naissance de Jésus

    Isaïe 7.14 : « Voilà pourquoi c’est le Seigneur lui-même qui vous donnera un signe : la vierge sera enceinte, elle mettra au monde un fils et l’appellera Emmanuel. »

    Isaïe 9.5 : « En effet, un enfant nous est né, un fils nous a été donné, et la souveraineté reposera sur son épaule ; on l’appellera merveilleux conseiller, Dieu puissant, Père éternel, Prince de la paix. »

    Michée 5.1 : « Et toi, Bethléhem Éphrata, qui es petite parmi les villes de Juda, de toi sortira pour moi celui qui dominera sur Israël et dont l’origine remonte loin dans le passé, à l’éternité. »

    David prédit l'adoration des mages : Des rois de l'Arabie et de Saba lui apporteront des présents.

    Noël est l’occasion de méditer sur l’accomplissement de la Parole prophétique annonçant la venue du Sauveur et Seigneur Jésus Christ. Des dizaines de prophéties messianiques ont eu leur parfait accomplissement en la naissance de Jésus.

    En voici cinq d'entre elles expliquées dans leur contexte:

    1. Né de la tribu de Juda

    La plus ancienne prophétie sur l’origine tribale du Messie se trouve dans le livre de la Genèse : « Le sceptre ne s'éloignera point de Juda, ni le bâton souverain d'entre ses pieds, jusqu'à ce que vienne le Schilo, et que les peuples lui obéissent » (Genèse 49:10).

    Les juifs conservaient avec diligences des généalogies pour préserver leurs origines tribales. Les généalogies des douze tribus d’Israël avaient grande importance à cette époque. C’est pourquoi, certains chrétiens du premier siècle convertis du Judaïsme étaient tentés de continuer à argumenter comme leur contemporains sur ces sujets (1 Timothée 1:4; Tite 3:9), puisque toutes les tribus n’avaient pas le même honneur et les mêmes promesses (Genèse 49).

    Les évangiles selon Luc et selon Matthieu décrivent de façon détaillée les ancêtres du Christ, reliant son origine paternelle et maternelle à la tribu de Juda (Luc 3:23-34 ; Matthieu 1:1-16). Fait remarquable de la providence divine, il n’y a aujourd’hui plus aucunes traces des généalogies des tribus d’Israël, car elles furent complètement brulées lors de la destruction de Jérusalem par les Romains en 70 après J-C.

    Pourquoi est-ce digne d’importance ? Car seul Jésus Christ peut donc être le Messie ! En effet, plus personne ne peut être identifié aujourd’hui comme provenant de la tribu de Juda, or Il était le premier et le dernier à avoir clamé être le Messie en accomplissant les prophéties messianiques. Or, Dieu Tout-Puissant a décrété que de la tribu de Juda devait naitre le plus grand des rois.

    2. Né descendant du Roi David

    Au sixième siècle avant J-C, le prophète Jérémie déclarait : « Voici, les jours viennent, dit l'Éternel, où je susciterai à David un germe juste ; Il régnera en roi et prospérera, Il pratiquera la justice et l'équité dans le pays » (Jérémie 23:5).

    Cette alliance davidique se trouvant au septième chapitre de 2 Samuel est la raison pour laquelle nous attendons le retour du Christ pour l’établissement de son règne terrestre... 
    Le royaume culminera en l’établissement des nouveaux cieux et de la nouvelle terre pour un règne éternel (Apocalypse 20-22). Les juifs avaient cette attente, c’est pourquoi certains acclamèrent le Christ en ces mots : « Hosanna au Fils de David ! Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur ! Hosanna dans les lieux très hauts ! » (Matthieu 21:9).

    3. Né à Bethléem

    Selon la parole divine donnée par le prophète Michée entre 750 et 686 avant J-C, le Messie ne serait pas né dans la capitale d’Israël, ni dans une grande ville, mais dans une petite ville nommée Bethléhem : « Et toi, Bethléhem Éphrata, petite entre les milliers de Juda, de toi sortira pour moi celui qui dominera sur Israël, et dont l'origine remonte aux temps anciens, aux jours de l'éternité » (Michée 5:2).

    Ce Messie qui dominerait sur Israël et sur toutes les nations, et dont l’origine est éternelle n’est autre que Jésus Christ, le Créateur qui était présent avant le commencement de l’univers (Jean 1:1,14,17 ; Colossiens 1:16-17). Pourtant, la naissance du Messie eut lieu à Bethléhem, une ville simple et sans prétention à quelques dix kilomètres au sud de Jérusalem.

    « Car mes pensées ne sont pas vos pensées, et vos voies ne sont pas mes voies, dit l'Éternel » (Esaïe 55:8). Les rois choisissent le luxe et toutes ses extravagances, Christ, le Roi des rois naquit « dans une crèche, parce qu'il n'y avait pas de place pour eux dans l'hôtellerie » (Luc 2:7b).

    Cette ville dont le nom signifie « maison du pain » avait été choisie pour demeurer à jamais dans les mémoires comme le lieu de naissance de Celui qui dira en vérité : « Je suis le pain vivant qui est descendu du ciel. Si quelqu'un mange de ce pain, il vivra éternellement ; et le pain que je donnerai, c'est ma chair, que je donnerai pour la vie du monde » 
    (Jean 6:51).

    Michée poursuit sa prophétie avec force : « C'est pourquoi il les livrera jusqu'au temps où enfantera celle qui doit enfanter, et le reste de ses frères reviendra auprès des enfants d'Israël. Il se présentera, et il gouvernera avec la force de l'Éternel, avec la majesté du nom de l'Éternel, son Dieu : et ils auront une demeure assurée, car il sera glorifié jusqu'aux extrémités de la terre » (Michée 5:3-4). Et, la naissance dont il est question au début de ce texte n’aurait rien d’ordinaire, comme l’indiquait une autre prophétie.

    4. Né d’une vierge

    Près de sept siècles avant J-C., Esaïe prophétisa : « C'est pourquoi le Seigneur, lui, vous donnera un signe: Voici, la vierge concevra et elle enfantera un fils, et appellera son nom Emmanuel » (Esaïe 7:14, version Darby). Notons que les miracles ont toujours étaient rares, par définition. C’est pourquoi lorsque Marie apprit cette nouvelle, elle en fut la première surprise :

    « L'ange lui dit : Ne crains point, Marie ; car tu as trouvé grâce devant Dieu. Et voici, tu deviendras enceinte, et tu enfanteras un fils, et tu lui donneras le nom de Jésus. Il sera grand et sera appelé Fils du Très Haut, et le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David, son père. Il règnera sur la maison de Jacob éternellement, et son règne n'aura point de fin. Marie dit à l'ange : Comment cela se fera-t-il, puisque je ne connais point d'homme ? » (Luc 1:30-34).

    La réponse à sa question se trouve dans la puissance de Dieu : « L'ange lui répondit : Le Saint Esprit viendra sur toi, et la puissance du Très Haut te couvrira de son ombre. C'est pourquoi le saint enfant qui naîtra de toi sera appelé Fils de Dieu » (Luc 1:30-35). Christ est né du sein de Marie alors qu’elle était encore vierge, grâce à la conception miraculeuse de son corps par puissance du Saint-Esprit.

    Pourquoi était-ce nécessaire ? Tout d’abord rappelons-nous que le Christ est Dieu, et que de ce fait Il est éternel. L’incarnation par la puissance du Saint Esprit était donc nécessaire, non pas pour donner la nature divine au Christ, mais pour que le corps se développant ensuite au sein de Marie soit exempt du péché originel. Christ n’est pas né de deux parents mortels (Joseph n’était pas son père biologique) car sinon il aurait été pécheur, son corps aurait été souillé du péché dès sa conception (Psaume 51:5), et Il n’aurait pas pu sauver les fidèles en mourant pour leurs péchés.

    5. Né pour sauver le pécheur

    Pour finir, à Noël nous célébrons le Christ né pour sauver le pécheur, né pour mourir à notre place sous la colère de Dieu. Ce si grand salut fut prophétisé également dans le Nouveau Testament par Zacharie, le père de Jean-Baptiste :

    « Béni soit le Seigneur, le Dieu d'Israël, de ce qu'il a visité et racheté son peuple, et nous a suscité un puissant Sauveur dans la maison de David, son serviteur, comme il l'avait annoncé par la bouche de ses saints prophètes des temps anciens, - un Sauveur qui nous délivre… » (Luc 1:67-71a). C’est la raison pour laquelle on donna à l’enfant « le nom de Jésus ; c'est lui qui sauvera son peuple de ses péchés » (Matthieu 1:21), car Jésus signifie « Dieu sauve ».

    Dieu ne laisse rien au hasard, ce qu’Il avait annoncé par la bouche des prophètes s’est accompli précisément lors de la venue de Jésus Christ. Puisque la véracité des prophéties messianiques fut absolue concernant de la première venue du Christ, nous pouvons donc attendre avec certitude sa seconde venue prophétisée dans le Nouveau Testament et dire avec l’apôtre Jean :

    « Amen ! Viens, Seigneur Jésus ! » (Apocalypse 22:20).
    (Extrait du blog de "Seraphim")
     

    NOEL 2019

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  • Répondre aux difficultés

     
    "Vous aurez des tribulations dans le monde; mais prenez courage, j’ai vaincu le monde."  (Jean 16:33)
     
    Dans le monde, nous éprouverons des tentations, des épreuves et encore des épreuves. Nous connaîtrons la persécution, les tribulations et les afflictions de l'âme et du corps. Nous subirons des mauvais traitements et des malentendus. Il ne s'agit pas de penser que Dieu permette ou non que les choses se produisent. Cela fait partie de la vie. Certaines choses que nous nous faisons à nous-mêmes, d'autres choses que nous nous faisons mutuellement. Notre Père connaît chaque oiseau qui tombe au sol, mais il ne l'empêche pas toujours de tomber.
     
    Que devons-nous en tirer? Que notre réponse à ce qui se passe est plus importante que ce qui se passe. Voici un mystère: l'expérience d'un homme le pousse à maudire Dieu, tandis que l'expérience identique d'un autre homme le pousse à bénir Dieu. Notre réponse à ce qui se passe est plus importante que ce qui se passe.
     
    Source: "Embrace the Cross" par Chip Brogden
     

    Comment réagir dans l’épreuve !

     
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  •  
    - Ce n’est pas à vous de connaître les époques ou les saisons que le Père a fixé par sa propre autorité. 
    (Actes 1: 7)
     
    Ils avaient demandé: «Seigneur, veux-tu à ce moment-là restaurer le Royaume d'Israël?» 
    La réponse de Jésus: "Ce n'est pas à vous de connaître les temps et les saisons."
     
    Nous ne pouvons pas spéculer sur le moment où le Seigneur reviendra dans la puissance et la gloire de son royaume. Nous devons donc "veillez, car vous ne connaissez ni le jour ni l'heure où le Fils de l'homme vient."  (Matth 24:42)
     
    - Veillez donc, puisque vous ne savez pas quel jour votre Seigneur viendra. Sachez-le bien, si le maître de la maison savait à quelle veille de la nuit le voleur doit venir, il veillerait et ne laisserait pas percer sa maison. C'est pourquoi, vous aussi, tenez-vous prêts, car le Fils de l'homme viendra à l'heure où vous n'y penserez pas. (Matth 24:42-44)
     
    (A partir de "Embrace the Cross" par Chip Brogden)
     

    Veillons et Prions ...

     
     
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  • Qu'est-ce que l'Oraison ?
    - Entrons dans le monde de l’oraison avec une mère de famille, Mathilde Bertrand-Boutlé (1844-1908), épouse d’un notaire de province. Nous la rejoignons dans la grisaille de sa vie quotidienne, tandis que, comme cela arrive à tant d’entre nous, elle pense à Dieu tout en travaillant, sans guère de ferveur:
     
    "Je me plaignais à mon Seigneur de me laisser loin de lui. Tandis que j’étais dans ces pensées, travaillant seule chez moi à quelque ouvrage de couture, mon âme fut soudainement investie et comme inondée du sentiment de la présence divine, et je l’éprouvais comme le sentiment de la réalité. Dieu était là, près de moi ; je ne pouvais le voir, mais je sentais la certitude de sa présence, comme un aveugle est certain d’avoir auprès de lui quelqu’un qu’il touche et qu’il entend parler ; et, dans mon cœur, c’était une onction, une paix, une joie divines... 
    Cela dura, je crois, environ une heure, et mon âme resta grandement fortifiée et consolée par cette faveur céleste, de sorte que ses effets ne me permirent pas de la prendre pour une illusion, malgré que j’eusse alors une grande ignorance de ces choses divines."
    Lucie Christine, Journal Spirituel, 16 juillet 1874
     
    Nous venons de pénétrer dans le monde de l’oraison 
     
    Même lorsque toute ferveur sera retombée, même dans la plus grande aridité intérieure, Mathilde ne doutera plus jamais d’avoir éprouvé en ce jour «comme le sentiment de la réalité», d’avoir pris conscience d’une présence qui l’accompagnera jusqu’à son dernier souffle. 
    Ce sentiment de la réalité, cet éveil de «quelqu’un» au cœur de notre cœur, beaucoup d’entre nous l’ont expérimenté un jour ou l’autre, quoique le plus souvent sous une forme atténuée. 
    Quelle qu’en soit l’intensité, on montrerait aisément que cette expérience est de même nature que celle des prophètes bibliques ou des apôtres au lendemain de Pâques, et l’on pourrait encore la détecter sous les formes les plus ordinaires de notre foi quotidienne. 
    C’est cette expérience, en tout cas, qui nous a mis en ORAISON.
     

    Extrait de "ORAISON", Max de Longchamp 

    L'Oraison ...

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  •  
    Deux facettes d'un même appel ... La part méditative - La part active -
     
    1/ Andrew Murray a écrit:
    "Prenez votre temps. 
    Donnez a Dieu le temps de se révéler a vous.
    Donnez vous le temps d’être silencieux et calme devant Lui, attendant de recevoir, 
    par le Saint Esprit, l'assurance de sa presence avec vous, de sa puissance travaillant en vous. 
    Prenez le temps de lire sa Parole comme si vous étiez en sa presence, 
    afin que par cette Parole vous appreniez ce qu'Il demande de vous et ce qu'Il vous promet.
    Permettez a cette Parole de créer autour de vous et en vous une sainte atmosphère, 
    une sainte lumière céleste dans laquelle votre âme puisse se rafraîchir et se fortifier pour le travail quotidien."
     
    2/ Hudson Taylor de son coté déclarait:
    "Il faut que nous nous donnions nous mêmes pour la vie du monde.
    Une vie facile, sans renoncement a soi même, n'aura jamais de puissance. 
    Porter du fruit implique porter sa croix. 
    Il n'y a pas deux Christ : 
    l'un, peu exigeant, pour les chrétiens qui veulent une vie facile, 
    et l'autre, souffrant et sans cesse en travail, pour les croyants exceptionnels. 
    Il n'y a qu'un Christ. Voulez vous demeurer en Lui, et, ainsi, porter beaucoup de fruit ?"
     
    MR

    Répondre a l'appel de Dieu pour une vie de disciple.

     

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  •  

     
    "Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous pardonner nos péchés et nous purifier de toute iniquité." 1 Jean 1:9
     
    "Tandis que le péché déborde, la grâce se déverse de manière si exubérante quelle ne surmonte pas seulement le péché mais quelle l'absorbe totalement."  J. Calvin
     
    "Nos péchés devraient nous rendre humble mais ils ne doivent pas nous décourager de venir au Christ." 
    Th. Watson
     
     "Si tu gardais le souvenir des iniquités, Eternel, Seigneur, qui pourrait subsister? 
    Mais le pardon se trouve auprès de toi, afin qu'on te craigne."  Psaume 130:3s
     

    "Mais maintenant, sans la loi est manifestée la justice de Dieu, à laquelle rendent témoignage la loi et les prophètes,  justice de Dieu par la foi en Jésus-Christ pour tous ceux qui croient. 

     

    Il n’y a point de distinction. Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu;  et ils sont gratuitement justifiés par sa grâce, par le moyen de la rédemption qui est en Jésus-Christ.

     

    C’est lui que Dieu a destiné, par son sang, à être, pour ceux qui croiraient victime propitiatoire, afin de montrer sa justice, parce qu’il avait laissé impunis les péchés commis auparavant, au temps de sa patience, afin, dis-je, de montrer sa justice dans le temps présent, de manière à être juste tout en justifiant celui qui a la foi en Jésus.
    Où donc est le sujet de se glorifier? Il est exclu. Par quelle loi? Par la loi des œuvres? Non, mais par la loi de la foi. Car nous pensons que l’homme est justifié par la foi, sans les œuvres de la loi."  Epitre aux 
    Romains ch3

     

    Le mot grâce revient plus de 170 fois dans le Nouveau Testament, il est la traduction du mot grec "charis". Un charisme (charisma) est un don fait par grâce (charis). Dans le grec usuel, on employait le mot "charisma" pour tout ce que l’on avait reçu gratuitement. 
    (Pasteur web.org)
     
    Que la grâce soit avec vous tous!  
     
    Épître aux Hébreux 13:25 

    Pour que notre foi demeure … au bon endroit ...

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  • Tous et chacun dans nos affects expérimentons des "petites morts". 
    L'homme née pour vivre sa vie et en la vivant il meurt peu a peu (travail de l'Esprit dans l'âme au moyen des circonstances diverses et variées.) La mort agit en nous, et la vie en vous …(Paul.)
     
    Tiens, voici une maladie grave que vous annonce délicatement le médecin. 
    Un accident aux multiples conséquences néfastes qui bouleverse votre existence. 
    Un deuil (conjoint, enfant, père, mère, être cher).
    Une grande déception, une trahison …la liste peut s'allonger indéfiniment …
    Nous ressentons ces coups (surtout quand ils fondent sur nous subitement) comme des KO au plus profond de l'âme. Quand la "mauvaise nouvelle" nous frappe par surprise nous mettons genoux a terre…
     
    Alors: 
    Heureux l'homme qui a appris de Dieu que "bien vivre c'est mourir de Sa main un peu chaque jour" (me suivre c'est prendre chaque jour la croix nous dit l'Ecriture…)
    Aucun déni pour le disciple, Christ est sa vie et dans l'épreuve, il vit dans le Souffle Divin en lui.
    "Christ est ma vie et la mort m'est un gain."
    Louons donc notre Seigneur qui nous accompagne tout au long de "l'épreuve terrestre".
     
    Plus nous enfonçons dans la vie chrétienne, plus nous sommes fait simples, petits, fragiles.
    Plus nous sommes "réduits" a Christ plus Dieu se révèle comme Celui qui est tout, partout, notre tout.
     
    Michel Henri de Cheptainville.yes

    Servir ...

     

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  • «Quand tu seras vieux, tu étendras les mains, et un autre te ceindra (t'habillera) et te mènera où tu ne voudras pas aller. (Jean 21:18)

    L'une des caractéristiques des jeunes disciples est leur capacité à "s'habiller" et à se conduire. Ils trouvent très facile de "sortir et d’entrer". Ils sont zélés et pleins de bonnes œuvres.

    Nous ne suggérons pas que cela soit nécessairement mauvais, mais que ce n'est que le début d'une croissance spirituelle. La vraie question n'est pas de savoir quel besoin je veux combler, où je veux aller, ou ce que je veux dire, ou faire. La question est: qu'est-ce qui glorifie le Seigneur? Chaque fois que «je» fais quelque chose que je considère comme spirituel et bon, c'est «moi» qui le fait.

    Souvent nous faisons ce qui nous glorifie, nous met en valeur - le Seigneur et son besoin sont rarement considérés. Mais quand nous demandons ce qui glorifie le Seigneur, nous voyons (au moins dans ce passage) que le Seigneur est glorifié quand il est capable de nous habiller (ceindre) et de nous conduire là où IL veut que nous allions - sans aucune interférence du Moi.

    Source: "Embrace the Cross" de Chip Brogden
     

     

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  • Pour méditer ...

    - "Environné de Sa Grace..." (si on y pense, quand même ...n'est ce pas extraordinaire ?)
    - Veux tu ne plus commettre de fautes avec ta langue ?Commence par te taire ...
    - Sans cette plénitude goutée, sans ce baptême dans le Saint Esprit, le "chrétien" est un petit robot...biblique.Ce n'est que dans ce cœur a cœur avec Dieu que nous quittons la religion de la lettre métallique ...
    - Nous étions tous errants... (Ésaïe 53), la aussi il est bon de nous y arrêter !

    - Oh, la, la, ce Paul apôtre avec son évangile de la prospérité! puuufff !!!  (lire: 1 Cor 4:8-13)
    - Les premières années avec Jésus:"Nous pouvons tout avec Jésus ..."Après bien des années:"Nous ne pouvons rien sans Jésus ..."Qu'est ce qui a changé ???
    - Au ciel, nous allons rire de bonheur; comme les petits enfants ...
    Michel Henri de Cheptainville :))

    Pour y penser, quelques pensées ...

     

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  • L'humilité pour la prière .

    Fondamentalement, l’humilité est l’attitude de celui qui se situe en permanence sous le regard de Dieu, comme une terre offerte. Le mot humilité vient du latin humus, terre fertile. Le terreau est là, on ne le remarque pas, il va de soi, toujours présent, destiné à être foulé. Il est silencieux, caché, sombre et pourtant toujours prêt à recevoir la semence, prêt à lui donner substance et vie. Plus il est bas, plus il est fécond, car il ne devient réellement fertile que lorsqu’il reçoit toutes les scories du monde. Il est si bas que nul ne peut le souiller, l’abaisser, l’humilier : il a accepté la dernière place et ne peut descendre plus bas. Dans cette position, rien ne peut troubler la sérénité de l’âme, sa paix et sa joie.
    Extrait d'Antoine Bloom, "Prière Vivante", Cerf


    Quelques "pensées" sur la Prière .

    La prière n’est pas d’abord un devoir, mais avant tout une participation à la vie, à l’activité, à la volonté de Dieu.   Origene

    Que d’hypocrisie dans nos prières publiques! Et comme nous faisons peu de cas de la prière dans le secret, en Dieu et notre âme, à moins que l’Esprit de supplication nous vienne en aide! Quand l’Esprit pénètre dans le cœur il y a la prière, et jamais avant.  John Bunyan

    Toute la puissance du monde pour consoler ne vaut pas le muet soupir qui, de votre cœur brisé, s’échappe avec confiance vers Celui qui recueille tous les soupirs.  Alexandre Vinet

    La prière doit être le canal par lequel je reçois, en tout temps, ce qui m’est nécessaire. C’est donc à elle que j’aurai constamment recours, c’est par elle que je chercherai ma consolation, par elle que je trouverai journellement une joie abondante et intarissable.  O. Hallesby

    La prière n’est pas façon d’obtenir ce que nous voulons, mais la façon de devenir ce que Dieu veut que nous soyons.  Pablo Martinez

    Le croyant quelque peu ignorant mais fervent peut posséder une plus grande expérience de la prière que le théologien qui a longuement étudié le sujet.  Don Carson

    Le plus important dans la prière n’est pas l’exaucement mais le temps passé avec Dieu au travers duquel il nous façonne à son image.

    Tim Keller
     

    La valeur du Silence

    Silence et prière

    Si nous nous laissons guider par le plus ancien livre de prière, les Psaumes bibliques, nous y trouvons deux formes principales de la prière, d’une part la lamentation et l’appel au secours, et d’autre part le remerciement et la louange. De manière plus cachée, il y a un troisième type de prière, sans supplications ni louange explicite. Le Psaume 131, par exemple, n’est que calme et confiance : « Je tiens mon âme en paix et silence… Mets ton espoir dans le Seigneur, dès maintenant et à jamais ! »

    Parfois la prière se tait, car une communion paisible avec Dieu peut se passer de mots. « Je tiens mon âme en paix et silence ; comme un petit enfant contre sa mère… telle est mon âme en moi. » Comme un enfant sevré auprès de sa mère qui a cessé de crier, telle peut être « mon âme en moi » en présence de Dieu. Alors la prière n’a pas besoin de paroles, peut-être même pas de réflexions.

    Comment parvenir au silence intérieur ? Parfois nous nous taisons, mais, au dedans, nous discutons fort, nous confrontant avec des partenaires imaginaires ou luttant avec nous-mêmes. Tenir son âme en paix suppose une sorte de simplicité : « Je n’ai pas pris un chemin de grandeurs ni de prodiges qui me dépassent. » Faire silence c’est reconnaître que mes soucis ne peuvent pas grand-chose. Faire silence, c’est laisser à Dieu ce qui est en dehors de ma portée et de mes capacités. Un moment de silence, même très bref, est comme un repos sabbatique, un saint arrêt, une trêve du souci.

    L’agitation de nos pensées peut se comparer à la tempête qui secoua la barque des disciples sur la Mer de Galilée alors que Jésus dormait. À nous aussi, il arrive d’être perdus, angoissés, incapables de nous apaiser nous-mêmes. Mais le Christ est aussi capable de venir à notre secours. De même qu’il menaça le vent et la mer et qu’il « se fit un grand calme », il peut aussi calmer notre cœur quand il est agité par la peur et les soucis (Marc 4).

    Faisant silence, nous mettons notre espoir en Dieu. Un psaume suggère que le silence est même une forme de louange. Nous lisons habituellement le premier vers du Psaume 65 : « La louange te convient, ô Dieu ». Cette traduction suit la version grecque, mais l’hébreu lit dans la plupart des Bibles : « Le silence est louange pour toi, ô Dieu. » Quand cessent les paroles et les pensées, Dieu est loué dans l’étonnement silencieux et l’admiration.

    COMMUNAUTÉ de TAIZE

    Pour faire Oraison :))

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